Excel Mouscron: «C’est dur moralement», admet Ciranni
Alessandro Ciranni ne pouvait cacher sa déception à l’issue d’une nouvelle rencontre perdue dans les dernières secondes.
Publié le 21-03-2021 à 12h12
/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/EBJRYNMDLRFVJJ2BTNZQVEU3XI.jpg)
«Si le match s'arrêtait à la 85e, on aurait pris un bon point. Repartir sans rien après une rencontre aussi difficile, cela fait vraiment mal. Mais dans le vestiaire, on s'est dit qu'on devait rester positif. Surtout Koffi qui nous a sauvés tellement de fois depuis le début de saison. Une erreur, cela peut arriver. Même si cela fait mal. Mais le combat n'est pas fini. Il nous reste trois finales à jouer».
Malheureusement, Mouscron ne semble pas retenir la leçon. C'est encore dans les arrêts de jeu que l'équipe a craqué. «Avec sept points de plus, on jouerait presque pour les PO2, regrettait le latéral droit. C'est vraiment dommage car on sait qu'on doit être attentif en fin de match. On travaille beaucoup là-dessus. On sait que cela ne doit pas arriver. Mais cela se passe encore. Ne pas prendre un point ce soir, c'est dur à encaisser».
Les Hurlus n'auront pas l'opportunité de se rattraper de suite. La prochaine rencontre n'arrive que dans quinze jours avec un déplacement chez le voisin carolo. «J'aurais préféré enchaîner. En décembre et janvier, quand on jouait tous les trois jours, j'adorais. Ici, la défaite va rester un peu plus longtemps dans les têtes».
Pour la faire sortir, il n'y aura qu'une solution: le travail, le travail et encore le travail. «On va d'abord bien se reposer. Ensuite, on va revoir le match et analyser nos fautes et voir ce que l'on peut faire de mieux.
On doit notamment être plus efficace en attaque. Le fait de jouer en bloc bas demande beaucoup d'énergie. C'est plus dur de faire de longs efforts ensuite. Peut-être qu'on doit parfois attaquer moins mais se montrer plus efficace quand on a l'opportunité. Comme on a réussi à le faire contre le Standard».