VIDÉO | Sa vie sans foot, Genk, Charleroi: les confidences de Felice Mazzù
Un peu plus de deux mois après son licenciement du Racing Genk, Felice Mazzù s’est confié à notre micro, sans langue de bois.
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Publié le 17-01-2020 à 16h48
Limogé le 12 novembre dernier après une défaite de trop contre Gand (0-2), Felice Mazzù est toujours sans club et l’inactivité se fait de plus en plus pesante. «Je me repose et je relativise. Cela fait du bien mais le football commence à me manquer.»
S’il commence à digérer son éviction, Felice Mazzù s’est ouvert sur son rapport avec l’équipe limbourgeoise. «J’ai un regard très neutre sur Genk. Je n’ai pas vécu assez longtemps là-bas pour avoir des sentiments ou regretter certaines choses», confie-t-il.
Son interview en vidéo ci-dessus.
«Charleroi, c’est mon club»
Le constat est différent avec le Sporting de Charleroi, qui restera à jamais son club de cœur. Alors que les Zèbres se trouvent à la deuxième place du classement, ce Carolo pure souche porte un regard bienveillant sur le début de saison idyllique de «son» Sporting. «Charleroi, c’est mon club. C’est extraordinaire ce qui leur arrive et c’est une suite logique de tout ce qui a été créé par Mehdi Bayat», ajoute le technicien de 53 ans.
S’il n’a toujours pas remis le pied à l’étrier, Felice Mazzù se verrait bien entraîner une équipe nationale dans le futur. «Que la sélection soit exotique ou pas, c’est une expérience à vivre et une autre manière de coacher.»
