Éric Vandebon, futur coach de Raeren-Eynatten mais « à 200 % derrière Dison au coup d’envoi »
Le "derby" entre Raeren-Eynatten et Dison sera particulier pour Éric Vandebon, défenseur des Stadistes mais futur T1 des Jaune et Noir.
Publié le 18-02-2022 à 13h41
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Toujours joueur au Stade Disonais mais futur entraîneur de Raeren-Eynatten la saison prochaine, Éric Vandebon va évidemment vivre le "derby" de ce dimanche avec un regard différent. "D'un côté, ce sera fort particulier car je suis très occupé avec les dirigeants de Raeren et mon futur adjoint Cédric Bouchez pour préparer le noyau de la saison prochaine. Je suis beaucoup en contact avec les joueurs du groupe actuel. Je pensais d'ailleurs que ça irait plus vite, mais tout cela prend du temps. Et d'un autre côté, j'ai toujours dit que je me donnerais à fond pour mon club actuel. Au coup d'envoi, je serai à 200% derrière Dison", assure le défenseur.
Impatient d'en découdre, dimanche sur le coup de 15 heures, Éric Vandebon voit ce duel comme une lutte physique. "Les conditions climatiques, sur un terrain compliqué, vont transformer ce rendez-vous en grosse bataille physique", préconise-t-il.
«Raeren fait partie des candidats au titre»
Raeren-Eynatten, quatrième à sept points de Dison mais avec un match de moins, a effectué une belle remontée dans le classement, pour se retrouver maintenant dans le haut du tableau. "Raeren a bien recollé et fait partie des candidats dans la course au titre. On vient de repousser Sprimont en les battant mais je pense que nous sommes encore quatre équipes pour la lutte finale: Rochefort, Onhaye qu'on oublie un peu mais qui est en tête aux points perdus, Raeren-Eynatten et Dison", résume le défenseur, dont l'état d'esprit n'a pas changé d'un iota. "C'est clair pour tout le monde: on a tous envie de finir la saison de la plus belle des manières. Même si ce n'était pas l'objectif de départ, on ne se privera pas d'aller chercher le titre si on peut. Nous sommes un groupe hyper soudé et la fin de saison s'annonce très chargée émotionnellement", dit-il en faisant référence aux futurs départs de Quentin Dessaucy, Arnaud Winandts, Arnaud Godard ou encore Grégory Reuter. "On veut vraiment aller au bout", conclut-il.