« Sprimont n’est pas encore largué », assure Jean-Sébastien Legros (Dison)
La réception de Sprimont (3e) par Dison (leader ex aequo) est un vrai choc, même si les Carriers ont cédé quelques points dans la course au titre. Dison - Sprimont : Dimanche, 15h
Publié le 11-02-2022 à 15h15
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Arbitre: M. Diskeuve.
DISON: Rico-Garcia, Teruel, Winandts, Vandebon, Legros, Said, Joao, Godard, La Delfa, Meunier, Clerbois, Habran, Reuter, Merola, Leers et Meunier sont incertains mais repris. Manchigov revient, ainsi que Demarteau qui a purgé sa suspension.
Absent: Dessaucy (blessé).
Dans quel état d'esprit Sprimont va-t-il se déplacer en terres disonaises, dimanche? Les troupes de Hervé Houlmont ont mal débuté 2022 en subissant deux revers consécutifs, à domicile 3-5 face à Jodoigne, 1-3 devant Herstal. En tenant compte du 1-2 infligé par Gouvy mi-décembre, la série est bien noire: zéro unité sur neuf. De quoi laisser Rochefort et Dison, co-leaders, à cinq points. "Mais il en reste 33 à prendre. Si je ne suis pas trop mauvais en calcul, cela signifie que Sprimont n'est pas encore largué", souligne Jean-Sébastien Legros, l'entraîneur du Stade Disonais.
Avec ses troupes, "JSL" restent sur deux nuls, à Habay-la-Neuve (1-1) et Mormont (0-0). "Deux matchs dans des conditions difficiles… voire, à Mormont, épouvantables. Nous avons été dans l'incapacité de développer notre football. À partir de ce moment-là, il fallait mettre en avant d'autres aspects de notre foot. Sur ces deux rendez-vous, je ne suis pas mécontent de notre mentalité. Nous avons répondu présent dans la bataille athlétique. Même si, au niveau comptable, le bilan est un peu frustrant", enchaîne le mentor disonais.
Du neuf au sein du noyau?
Une fois la rencontre passée, c'est en coulisses que les choses pourraient bouger au Val Fassotte. "Ça va se décanter la semaine prochaine", glisse Legros.
Pour la saison suivante, certains joueurs n'ont en effet pas encore été vus. D'autres doivent rendre réponse, comme le capitaine Quentin Dessaucy. "Nous avons déjà 12 prolongations: il n'y a pas de raison de paniquer. Chaque cas mérite une réflexion personnelle: il y a l'âge, la famille, le travail…"