«Une première et… peut-être une dernière»
Dans le dur vendredi (perte du 1er set 1-6), Elise Mertens n’a plus connu la même mésaventure samedi, remettant les pendules à l’heure en même temps que la Belgique au commandement dans le duel des N.1
Publié le 10-02-2020 à 07h29
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. Du bel ouvrage, vite fait bien fait, contre une Putintseva, il est vrai, bien fatiguée (et maintenue tard en activité) par Bonaventure la veille…
À un point de la qualification, la Belgique comptait donc sur Kirsten Flipkens, préférée à Ysaline Bonaventure vu l’influx nerveux et mental et la dépense physique laissés sur le terrain la veille par la Stavelotaine, pour décrocher le billet pour Budapest.
Pari gagnant puisque l’expérimentée Campinoise a répondu présent, avec style (quels slices, quelles volées!) pour envoyer notre équipe nationale dames en Hongrie. Non sans une certaine émotion…
«Bien sûr, la victoire d'Elise Mertens plus tôt dans la journée m'a fait du bien mentalement. Mais mine de rien, je joue la Fed Cup depuis 17 ans maintenant, et je n'ai pas souvent assuré le point décisif dans mon propre pays, relevait la trentenaire (34) de Mol après avoir dominé Diyas. En plus, non seulement c'est ma première victoire de l'année (!), mais, qui sait? cela pourrait aussi être ma dernière apparition en Belgique: non pas que j'aie décidé de raccrocher, mais la phase finale est en Hongrie et nul ne sait ce que nous réserve l'avenir ni quand nous rejouerons à domicile en Fed Cup. Or, à 34 ans, le temps m'est compté.»