Dudouit, un «porte-bonheur» qui se veut ambitieux
Revenu de blessure le jour du match à l’Union (1-1), le 19 novembre, Emeric Dudouit est le «porte-bonheur» du moment à Tubize puisque son équipe n’a plus perdu depuis.
Publié le 06-01-2018 à 06h00
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Une stat’ flatteuse qui fait sourire l’intéressé. «On peut aussi dire qu’on est encore invaincus en 2018, plaisante-t-il. Plus sérieusement, tant mieux si on ne perd pas, c’est bien pour le groupe, pour notre situation au classement, etc. Mais à titre purement personnel, je n’y prête pas attention.»
Modeste, le flanc droit français des Sang et Or illustre à merveille l'état d'esprit d'un groupe qui semble de plus en plus en confiance depuis le changement d'entraîneur. «On s'est tous bougé individuellement et ça se ressent sur le collectif. Mais on sait très bien que si les trois prochains matches ne sont pas bons, tout peut changer.»
C'est pourquoi le triptyque qui s'annonce est d'importance. Et surtout son premier volet: Westerlo, dimanche. «C'est un adversaire à notre portée, évidemment, puisque, dans ce championnat, ils le sont tous, estime notre interlocuteur. D'où l'importance d'aborder ça de la meilleure des manières, avec une concentration maximale. On est dans une phase hyper importante de la saison. Je me souviens que la saison dernière, une fois revenu des vacances de Noël, ça avait été très vite. Là, cette semaine à trois matches va nous permettre d'y voir plus clair et de, pourquoi pas, se fixer des ambitions…»