Avant le capital Kain-Blaton, Jérémy Wrzoskiewicz se livre: "Dommage que Kabi ne soit plus à l'ASTEK"

L’inusable Jérémy Wrzoskiewicz n’a rien perdu de ses qualités. Il le démontre avec Blaton, qu’il a accepté de venir aider à se maintenir en P1.

Yvon VANDOORNE
 Ses trois enfants occupent une position centrale dans les décisions de Jérémy "Rosko" Wrzoskiewicz.
Ses trois enfants occupent une position centrale dans les décisions de Jérémy "Rosko" Wrzoskiewicz. ©ÉdA

Il y a bien sûr l’aspect sportif. Avec sa taille et son talent, Rosko ne pouvait qu’apporter un plus au BCB de Thibaud Peridaens. Ses treize points contre Mons, puis ses seize unités à Erquelinnes en sont la preuve. Il y a aussi et surtout les valeurs morales, et là encore, l’intérieur blatonien coche toutes les cases. Véritable club-man, le militaire de carrière s’est mis au garde-à-vous dès qu’on a fait appel à lui. "Ne serait-ce que pour Thierry Bourlet, qui se bat depuis si longtemps pour son club, souvent dans l’ombre, je ne pouvais que répondre présent, affirme-t-il. Que mes deux princesses, Jaelyn et Joyia, puissent une fois voir leur papa jouer au basket a également influencé ma décision. J’avais rangé les baskets il y a quelques années sur une dernière montée de P2 en P1, avec Blaton, car je voulais leur consacrer plus de temps, et terminer sur une bonne note plutôt que sur une grave blessure, comme cela peut arriver. Maintenant qu’elles ont grandi, elles peuvent venir assister au match, comme à Erquelinnes, où nous sommes malheureusement tombés contre un superbe collectif. Qu’à cela ne tienne, il reste quatre rencontres pour nous sauver et je compte bien tout donner pour mes couleurs."

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