L’animateur Jean-Michel Zecca investit dans l’immobilier à Leuze

Pour M. Zecca, il s’agit plutôt d’un placement qui n’a rien d’anodin, même si le choix d’une commune de la taille de Leuze en étonnera certainement plus d’un.

Ce sont avant tout ses attaches familiales qui l'ont conduit à injecter de l'argent dans le nouveau lotissement qui a vu le jour dans le quartier de la Bonneterie, au bout de l'impasse Denis. «Il se fait que mon beau-père, Patrick Van Impe, habite toujours à Renaix et est le promoteur immobilier (Vip Group) de ce clos comprenant 31 logements à deux pas du centre-ville. Séduit par le concept, je me suis associé avec lui sur le plan financier», confie l'animateur, qui a déjà eu l'occasion de se rendre sur place pour observer l'avancement du chantier.

«Un havre de paix en plein centre-ville»

Originaire de Charleroi, Jean-Michel Zecca connaissait jusque-là relativement peu notre chère Wallonie picarde. «Mais c'est une région que j'ai appris à découvrir et que je trouve assez charmante », nous dit-il.

Pour autant, celui qui est tous les soirs aux commandes du jeu Septante-et-un, où il a récemment «cuisiné» un certain Christian Brotcorne, a pris la peine de s’imprégner des lieux.

«J'aime beaucoup cet esprit de clos, sorte de petit havre de paix qui jouit d'une situation centrale à cinq cents mètres de la Grand-Place. Ce développement immobilier est à la fois ambitieux et cohérent avec la région.

Vous savez, je viens de Charleroi, une ville de province qui, tout comme Leuze, n'a pas la même attractivité que Bruxelles par exemple. Mais je considère que tous les projets visant à redynamiser une région, et dont les gens véhiculent parfois une image un peu négative, doivent être soutenus ».

Pas du haut standing

Le clos Denis dans lequel l’animateur a choisi d’investir aux côtés de son beau-père témoigne de l’intérêt grandissant des promoteurs immobiliers privés pour le centre de Leuze.

Après plusieurs années de travaux, la commercialisation a débuté tout récemment sur le site, qui se répartit en un ensemble de 13 maisons et de 18 appartements. Le tout regroupé autour d'une agréable placette bientôt arborée et garnie de bancs publics où les futurs acquéreurs auront le loisir de se poser. «À l'issue du premier week-end de portes ouvertes, nous avons déjà pu vendre 22% du clos, se réjouit Jean-Michel Zecca, qui insiste sur le caractère abordable des prix pratiqués par la société de son beau-père. On n'est pas du tout sur du logement de haut standing puisque le prix de la maison la plus chère du lot, qui s'étend sur 230 m2 avec quatre chambres, a été fixé à 255 000€».

Dans un quartier où la mobilité n’est pas toujours aisée, on signalera encore qu’une quarantaine de places de parking ont été aménagées aux abords des différents logements.