Gustave, volé dimanche près de la Haute école Louvain en Hainaut dont il était la mascotte, a été retrouvé par la police

Volé dimanche dernier par une dame, le chat Gustave, la mascotte de la HELHa a été retrouvé là où il était "séquestré". Grâce à l’appel lancé par ses propriétaires et à la ténacité de l’agent de quartier.

 Si Sarah peut à nouveau tenir Gustave dans ses bras, c’est en grande partie grâce à la ténacité de l’inspecteur Julien Ladavid….
Si Sarah peut à nouveau tenir Gustave dans ses bras, c’est en grande partie grâce à la ténacité de l’inspecteur Julien Ladavid…. ©EdA - 60528317746 

L’annonce du vol de Gustave avait provoqué une très grosse émotion dans tout un quartier et, notamment, auprès des élèves et professeurs de la HELHa que le Chartreux avait l’habitude de fréquenter durant la journée. L’appel lancé par ses propriétaires sur les réseaux sociaux pour le retrouver avait suscité un nombre impressionnant de commentaires. Ainsi qu’un témoignage essentiel, à savoir celui d’une personne qui se promenait sous le pont de Fer et qui avait vu une dame accompagnée par deux enfants emporter le chat dans ses bras, dimanche, à 15 h 37.

Une enquête a été menée par la police de Tournai et grâce aux images de caméras de surveillance, la piste de la dame en question a pu être remontée jusque dans le quartier de la gare.

La police n’a pas lâché l’affaire et, tout particulièrement grâce à la ténacité de l’inspecteur Julien Ladavid, Gustave a pu être localisé là où il était séquestré.

On ignore quelles explications la dame aura fourni aux pandores mais il est clair que les propriétaires ont décidé de maintenir la plainte déposée suite à la suspicion de vol de leur chat âgé de 8 ans.

Gustave, un peu amaigri, a pu retrouver son maître et sa maîtresse ce vendredi, peu après sa découverte.

Une fin heureuse dont la HELHa se réjouit également sur les réseaux :

Ils ont aussitôt été le faire examiner par un vétérinaire sachant que le chat risque des problèmes de santé si son régime alimentaire est mal adapté.

Pour ce happy end, nous reprendrons la conclusion que sa propriétaire, Sarah, diffuse sur les réseaux: "Ce n’est pas tous les jours qu’un chat fait la une d’un quotidien … Preuve s’il en est que la solidarité entre les êtres existe et qu’il nous est possible de construire un monde plus juste…"

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