Gwen Vanzeveren, directeur général de maisons de repos à Tournai, Ath et Colfontaine
Gwenaël Vanzeveren devient le directeurs des maisons de repos des ASBL Vertefeuille (Tournai), Esplanade (Ath) et La Moisson (Colfontaine).
/s3.amazonaws.com/arc-authors/ipmgroup/6dcbe7f5-c37f-48a4-8fd2-e98ae5f7a8f7.png)
Publié le 06-02-2023 à 09h00
:focal(544.5x370.5:554.5x360.5)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/SRIZZYASPBAYZAYMQFFHMBGTDQ.jpg)
Gwenaël Vanzeveren est employé depuis une quinzaine d’années à la Mutualité chrétienne Hainaut picardie. Depuis 2020, il est coordinateur médico-social d’un pôle qui regroupe toute une série d’institutions telles que les ASD (aide et soins à domicile), les ETA (entreprises de travail adapté), les magasins Qualias, les maisons de repos, etc.
Dès le 1er avril prochain au plus tard, il deviendra directeur général à temps plein des trois maisons de repos et de soins partenaires de la Mutualité chrétienne Hainaut picardie: les ASBL Vertefeuille à Tournai, Esplanade à Ath et La Moisson à Colfontaine. "Pour assurer de plus en plus de synergies, partager les ressources, gagner en efficacité, etc.", nous dit Gwen Vanzeveren, connu à Tournai pour être très actif dans le milieu associatif (il est notamment le président des Gens d’Ere) et conseiller communal (PS).
Pour l’instant, en attendant qu’un successeur lui soit désigné, il sera dans une situation transitoire entre les deux emplois. "C’est une nouvelle aventure qui commence pour moi. Mon travail actuel m’a permis de découvrir le monde des maisons de repos pour lequel j’ai eu un vrai coup de cœur: dans ce domaine-là, on a une prise directe avec une formidable réalité: avoir la meilleure prise en charge possible des résidents des maisons de repos et de soins. J’ai à cœur de continuer à défendre le modèle associatif de nos structures, qui n’ont pas d’actionnaires à rémunérer. Les maisons de repos ont beaucoup souffert pendant la période Covid. La situation s’est améliorée mais elles n’ont pas encore retrouvé la sérénité qui était la leur avant la crise sanitaire: il existe toujours, notamment, une pénurie de personnel".