Spyke teste pour nous le nouveau caniparc tournaisien (vidéo)

Aurélie Timmerman, de Tournai, y a emmené son dynamique croisé Chihuahua de huit ans et demi, adopté il y a sept ans auprès de la SPA de Mouscron, pour tester les différentes structures proposées.

Employée administrative de profession, Aurélie a pour passion la pratique de l’agility dont elle apprend à Spyke toutes les ficelles au sein du club canin Wapidog, à Blandain, à raison d’une à deux séances par semaine.

Cela, dans le but d’obtenir très prochainement le brevet d’agility qui lui ouvrira - à elle et à Spyke - les portes, ou plutôt les parcours, des concours internationaux dans cette discipline.

Elle a testé pour nous les obstacles du nouveau parc à chiens tournaisien, lesquels sont en tous points similaires à ceux utilisés lors des concours d’agility, même s’ils sont ici en nombre plus restreint.

Ainsi, Sur le parcours tournaisien, on retrouve le pneu, le tunnel, l’oxer (saut en longueur), le slalom, le saut "normal" et la passerelle…

Bref, de quoi permettre à nos amis à quatre pattes de se défouler tout en offrant à leur maître l’occasion de goûter au plaisir de l’agility dont la finalité est de leur permettre de réaliser un parcours jalonné d’obstacles numérotés (généralement une vingtaine) en un minimum de temps.

Mais ce n’est pas le seul aspect qui a séduit Aurélie dans ce nouveau parc ; " il se veut aussi, et surtout, un espace de sociabilisation non seulement pour les chiens, mais également pour les propriétaires. C’est aussi important pour les uns que pour les autres, constate Aurélie.

Le parc peut encore être un lieu de rendez-vous pour le départ d’une promenade canine, sachant que le chemin de halage jouxte ce nouvel espace réalisé par la Ville de Tournai ".

La note attribuée tant par Aurélie que par d’autres utilisateurs rencontrés sur le terrain se veut globalement positive pour ce premier caniparc tournaisien. Juste un petit bémol souligné par certains: l’exiguïté de l’endroit lorsque le nombre d’utilisateurs dépasse 3 ou 4 toutous (et leurs maîtres ou maîtresses). Un problème qui pourrait être facilement réglé par l’extension de l’espace clôturé, ce qui ne semble pas insurmontable étant donné la surface libre qui se profile dans le prolongement de ce caniparc.

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