« Ce n’est pas à l’enseignant de subir, d’avoir au mal au ventre avant une réunion de parents », affirme Pierre-Yves Jeholet

« Les rencontres du samedi (3/3) » : dernier volet de notre interview de Pierre-Yves Jeholet sur les défis du gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, notamment ceux qui gravitent autour du secteur de l’enseignement.  "Enseigner aujourd’hui, ce n’est pas comme il y a 20 ans", constate-t-il.

"Constater qu’un enseignant sur trois quitte l’enseignement endéans ses cinq premières années, c’est déduire qu’il y a un problème."
"Constater qu’un enseignant sur trois quitte l’enseignement endéans ses cinq premières années, c’est déduire qu’il y a un problème." ©EdA Philippe Labeye

Pierre-Yves Jeholet, en tant que ministre-président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, vous avez eu chaud ces derniers jours au sein de la majorité MR-PS-Écolo, autour de la thématique des cursus de médecine. Un débat qui a abouti la semaine dernière en habilitant les universités de Namur et de Mons à proposer un master médical. Que retenez-vous de cette crise? Que vos partenaires de majorité peuvent rapidement passer d’alliés à ennemis?

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...