Avec le curé Stanis chez les Kasaïens oubliés

Ils sont de plus en plus nombreux , et décidés, ces Disonnais qui «construisent» au Kasaï congolais. En dur pour 780 € la maisonnette.

Jean BRASSEUR

Si vous ne connaissez pas le village kasaïen de Cibombo, c'est que vous n'êtes pas de Dison. Ici, entre ville et campagne, le curé Stanislas Kanda se démêle comme un diable, si l'on ose dire, pour convaincre ses paroissiens de l'utilité de venir en aide aux victimes de l'épuration ethnique qui a sévi dans la province du Katanga entre 1992 et 1995.

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