Walcourt: quelle empreinte carbone pour les gobelets réutilisables?

Plusieurs conseillers communaux se sont interrogés sur la véritable empreinte carbone générée par la gestion des gobelets réutilisables.

Vincent PINTON
 Le conseil a approuvé l’acquisition de cet immeuble pour autant qu’il soit isolé avant d’être mis en location.
Le conseil a approuvé l’acquisition de cet immeuble pour autant qu’il soit isolé avant d’être mis en location. ©ÉdA

Lundi soir, le conseil communal était invité à adhérer à la centrale d’achat du BEP pour l’achat, le lavage et le stockage des gobelets réutilisables. "Pour l’heure, 18 communes, sur les 38 que compte la province, ont donné leur accord de principe, 12 ont refusé et 8 ne se sont pas encore prononcées", précise Philippe Bultot (MR-EC) en l’absence de Nicolas Preyat (MR-EC), échevin en charge de ce dossier. "L’utilisation de ces gobelets réutilisables nécessite une logistique importante et pas mal de déplacements qui ne sont pas encore au point", constate Vincent Bedoret (MR-EC) pour les avoir déjà utilisés. "Finalement, c’était plus simple lorsqu’on utilisait de verres en verre", pense Jean-Nicolas Bolle (Écolo Vers Demain). "Lorsqu’on prend en compte les frais de transport et de lavage, je serais curieux de connaître l’empreinte carbone générée par la gestion de ces gobelets réutilisables", déclare Laurent Leclercq (Oxygène-Toi Autrement). "Pour les événements qui attirent beaucoup de monde, la police préconise ce type de gobelet pour éviter les bagarres au tesson de bouteille", précise la bourgmestre Christine Poulin (PS). "L’avantage de ce système réside dans le fait que les gobelets arrivent hygiéniquement propres chez l’organisateur", ajoute Philippe Bultot. Le point a été approuvé à l’unanimité.

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