R1 Dames : Ciney s’est fait peur, Boninne tombe dans le piège
Ciney 77 - Charleroi B 72
Publié le 05-03-2023 à 19h19 - Mis à jour le 05-03-2023 à 22h13
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23-14, 20-18, 21-20, 13-20.
CINEY: Mazuin 3 (1x3), Beguin 12 (2x3), Ernoux 9 (1x3), Van Meerbeeck 1, Laloux, Vanhorsigh, Delire 13 (1x3), Bechoux 8 (1x3), Laurant 14, Medjo 17.
CHARLEROI: Hermans 7 (1x3), Fimiani 8 (2x3), Dupire 7, Cambioli 24 (3x3), Vashamillette, Vandewattyne 22, Muylaert 2, Vandenberghen.
Comme à son habitude, Ciney est bien en place et prend d’entrée les commandes de la partie (23-14, 10e). Ensuite, il continue à concrétiser ses actions en alternant le jeu intérieur et extérieur mais Charleroi a du répondant (43-32, 20e). À la reprise, Ciney parvient à trouver l’anneau tandis que le Spirou s’appuie sur Cambioli-Vandewattyne, qui inscrivent tous les points de ce troisième quart, pour rester en vie (64-52, 30e). Dans le final, Charleroi, adroit à distance, connaît un dernier rush.
Ganshoren 79 – Boninne 76
11-19, 27-13, 18-18, 23-25.
BONINNE: Philippe 14 (4x3), Lakkerwa 4, Lemaire 2, Broers, Drygalski 1, Laffineur 14 (1x3), Ory 2, Lesire 2, Fivet 14 (1x3), Hubaut 22.
Boninne a fait les frais d’une lanterne rouge en plein redressemen. Pourtant, les filles de David Roussaux se trouvent bien dans la raquette (11-19, 10e). Après, ça se dérègle. La défense boninnoise se montre plus laxiste et Ganshoren punit à distance. C’est 38-32 au repos. Au cours du troisième acte, les débats s’équilibrent où Hubaut répond à l’expérimentée Patrut (56-50, 30e). Dans l’ultime quart-temps, les "Jaunes" restent en embuscade, grâce à Laffineur, mais Ganshoren conserve l’avantage en plantant les tirs primés au bon moment.
Namur B 49 – Pepinster 61
16-14, 13-16, 11-21, 9-10.
NAMUR: Matthys 9 (1x3), Giaux 11 (3x3), Hucorne 12, Iemmolo, Chirishungu 7, Colin, Vandy, Cool 3 (1x3), Godart 4, Agabalova 3.
"L’état d’esprit n’y était pas, confirme le coach, Jeremie Palix. Face à une équipe plus âgée, on se doit de la tuer physiquement mais nous n’avons jamais imprimé notre rythme. Au contraire, elle nous a poussés au jeu placé, ce qui n’est pas notre qualité première. Par ailleurs, le corps arbitral a été catastrophique. Avec deux fautes après huit minutes, j’ai dû sortir Hucorne jusqu’à la pause. Dans le 3e quart, c’est simple, nous n’avons pas eu une seule contre-attaque. Cela dénote un manque cruel d’engagement. Ça peut arriver de sortir un mauvais match, mais pas sur le fait de ne pas revenir."