Les Namuroises assurent l’essentiel
Sur un mode mineur, les Namuroises s’imposent face à des Ladies, courageuses, qui ont tenu plus de 30 minutes avant de craquer…
Publié le 25-01-2023 à 22h39 - Mis à jour le 25-01-2023 à 22h56
:focal(545x371.5:555x361.5)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/WFVOS3ZNAVASXDIACBQRVVPH5A.jpg)
Namur 79 – Charleroi 61
21-20, 18-11, 21-16, 19-14
NAMUR: Matthys 0, Defosset 14, Dossou 7 (1x3), Saucin 0, Rupnik 18 (3x3), Boosten 2, Zelnyte 10 (2x3), Whitted 18, Carpréaux 11 (2x3)
LADIES: Hermans 15 (1x3), Fimiani 0, Vandewattyne 8, Bottriaux 0, Muylaert 2, Mukeba 0, Cambioli 21 (3x3), Mense 5, Hering 10
Namur compose finalemet sans Wilson pour débuter cette rencontre face aux Carolos. Des "Ladies" décomplexées qui mènent à 4-9 forçant le coach namurois Araujo à un temps mort après deux minutes trente. Le réveil namurois vient de leur capitaine Carpréaux qui sonne la charge avec 5 points consécutifs pour ramener les Namuroises à hauteur des filles de Fabien Muylaert. Des Carolorégiennes, aux rotations limitées, qui font mieux que se défendre sur le parquet du Hall Octave Henry. À la pause, le score n’est que de 39-31.
La deuxième période reprend sur un mode mineur. Les Ladies se rapprochent tout de même à 41-37 via Cambioli et Hermans mais les trois bombes de Rupnik font du bien dont celle au buzzer pour atteindre le plus gros écart depuis l’entre-deux initial à 60-47. Physiquement, Charleroi craque dans les 10 dernières minutes et les Namuroises forcent l’écart et s’imposent au petit trot 79-61.
"Nous avons très mal débuté, résume l’entraîneur adjoint namurois, Lionel Dorange qui retrouvait ses anciennes couleurs. Et Charleroi a très bien shooté en jouant décomplexé. Nous avons eu du mal à décoller, l’adversaire a très bien joué le coup tactiquement en ralentissant le jeu. De notre côté, nous avons un rang à tenir. Avec Wilson toujours blessée et Saucin malade, les rotations étaient limitées. Rupnik a fait du bien en second période mais on doit continuer à travailler. C’était notre première répétition avant Braine et nous aurons une seconde ce samedi contre Brunehaut. À nous de garder le bon et d’effacer le plus mauvais." Côté carolorégien, la copie est plutôt bonne. "A sept, nous savions que nous allons souffrir, avoue l’entraineur carolo, Fabien Muylaert. Mais les filles se sont montrées solidaires du début à la fin sur et en dehors du terrain. C’est ainsi que nous allons y arriver. Nous savons que le calendrier n’était pas simple avec deux fois Namur, une fois Braine et ce week-end, Malines. Mais les grosses échéances arrivent après la trêve internationale et c’est là qu’il faudra prendre les points."