Namur se sépare d’Asoro et engage une Lituanienne
Du mouvement à Namur avant la reprise programmée ce jeudi: la Lituanienne Zelnyte arrive pour remplacer la Suédoise Asoro.
Publié le 28-12-2022 à 13h45 - Mis à jour le 28-12-2022 à 15h05
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Suite au départ de la joueuse islandaise Hildur Kjartansdottir, remerciée fin novembre, on attendait l’arrivée d’une pivot au hall Octave Henry. Mais le club namurois a surpris ce mercredi en annonçant plutôt la venue d’une ailière. Si la Lituanienne Laura Zelnyte rejoint la capitale wallonne, ce n’est pas à la place de l’Islandaise mais plutôt pour remplacer la Suédoise Abigail Asoro, "coupée" d’un commun accord en cette fin d’année.
"Nous n’étions pas satisfaits du rendement d’Asoro, explique le président Jean-François Davreux. Par rapport à ce qu’elle nous coûtait, c’était insuffisant. Elle a sorti un bon match contre Benfica mais c’est à peu près tout. Sa blessure ? Elle date de la fenêtre internationale, elle a eu le temps de se remettre depuis. Ce n’est pas toujours simple de s’intégrer rapidement dans une nouvelle équipe mais on devait réagir."
Invaincue en Eurocup
Ce que le président a fait en engageant Laura Zelnyte avant la double confrontation face à Sepsi, début janvier, en seizièmes de finale de l’Eurocup. "Laura arrive de Saragosse, en D1 espagnole, ajoute Jean-François Davreux. Son équipe jouait encore mardi soir en championnat. Elle est en route pour Namur et sera à l’entraînement ce jeudi matin pour la reprise ". La Lituanienne de 28 ans, ailière forte d’1m89, a joué l’Eurocup avec son club espagnole et notamment battu Braine à deux reprises dernièrement. "Saragosse est invaincu en Eurocup et elle jouait environ 15 minutes par match, précise encore le président. Elle en voulait plus et comme son contrat lui permettait de partir, on a saisi l’opportunité. Elle ne vient pas pour prendre la place d’une jeune. Le coach n’hésite pas à leur donner confiance, ça va continuer. Maintenant, le défi pour ces jeunes, au deuxième tour, c’est de garder les pieds sur terre. C’est aussi pour ça qu’on n’a pas cherché un poste 5 d’urgence après le départ de notre pivot. Émilie Saucin a par exemple montré de belles choses. Sauf belle opportunité, ce n’est pas certain que l’équipe bougera encore. "