Jamais deux sans trois pour Arquet

Cartes jaunes: Mathieu, Fischer, Wauquaire, Francotte, Gilissen, Legrand, Gillet, Jonckers, Sulejman.

Cartes rouges: Ligot (2 c.j., 68e), Verdel (2 c.j., 83e).

Buts: Jonckers (0-1, 6e ; 1-2, 72e), Fischer (1-1 c.s.c., 28e).

GRAND-LEEZ: Legrand, Kindermans, Wauquaire, Quevrin, Trigaux (70e Dangoisse), Ligot, Gilissen, Francotte, Piazzalunga, Boreux (62e Boigelot), Devigne.

ARQUET: Gillet, Labeau, Vanderreycken, Martin, Jonckers (89e A. Mathieu), Avci (60e Mpia Massa), Fischer, Demoulin, Nzinga, J. Mathieu (85e Simon), Verdel.

Malgré les absences de Boigelot (Covid), de Gilles (Erasmus) et de Van Bets (voyage scolaire), d’Ayika, Barbarin, Barry et de Longin, blessés, et de Beguin, suspendu, les Grand-Leeziens étaient bien décidés à infliger une première défaite à des Vedrinois orphelins de Mertus, absent, et de Pierrard, blessé.

Si Francotte était le premier à alerter Gillet (4e), son alter ego vedrinois, Jonckers, se montrait plus réaliste (0-1). Le jeu se cantonnait ensuite en milieu de terrain. Jusqu’à la frappe de Trigaux, à la tête de Francotte sur la barre et à la reprise de Ligot repoussée par transversale. Francotte s’infiltrait alors, avant de centrer. Son essai était dévié par Fischer dans son propre but (1-1). Le coup franc excentré de Trigaux était ensuite dévié de justesse par Gillet.

Sous les yeux d’un Michel Lecomte attentif, la seconde période était tout aussi intéressante. Le coup franc de Nzinga s’écrasait sur la transversale (48e). La frappe de Gilissen était bien captée par Gillet (49e). Et tandis que l’éclairage illuminait l’aire de jeu, Demoulin se rappelait aux bons souvenirs des Gembloutois (67e). Et ce, avant la seconde carte jaune du défenseur visité, Ligot. En infériorité numérique, les Grand-Leeziens ne tenaient pas longtemps. Jonckers échappait à la surveillance de son garde-chiourme et plaçait le ballon hors de portée d’un Legrand pantois (1-2). Un gardien visité qui s’illustrait devant Martin (81e) et Jonckers (82e). Le score ne changeait plus, malgré l’exclusion de Verdel. Les Vedrinois préservent ainsi leur brevet d’invincibilité.