Cette fois, c’est la victoire ou la descente pour les Namuroises
Les Namuroises n’ont plus le choix : il faut aller vaincre les rivales anversoises ou se résoudre à basculer en N2. « On a bien préparé ce match super-important, avance le T2 Jacques Meessen, qui se veut confiant. On a fait du bon travail, y compris
Publié le 02-04-2022 à 06h00
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Les Namuroises n’ont plus le choix: il faut aller vaincre les rivales anversoises ou se résoudre à basculer en N2."On a bien préparé ce match super-important, avance le T2 Jacques Meessen, qui se veut confiant.On a fait du bon travail, y compris individuellement, à l’entraînement. Certaines filles m’ont même épaté. Si elles sont libres dans leur tête ce samedi, je pense que ça ira. À l’aller, on avait livré un superbe deuxième set, puis la blessure de Lucie Rousselin était venue perturber l’équipe. On était un peu trop déforcés."
L’effectif a retrouvé des forces, depuis ce premier tour. Même si les filles de Thimister se font moins présentes, ces derniers temps, à Bouge."Certaines ont eu de mauvais résultats scolaires et leurs parents ont décidé de réduire leurs activités sportives, On peut le comprendre. D’autant qu’elles évoluent aussi avec la N3 et la P1 de Thimister, et avec l’objectif de remporter le titre en provincial. Elles doivent encore gagner un match pour y parvenir", explique l’adjoint de Dominique Colin, qui a passé le témoin, sur le banc germanophone."Je reste dans le club, mais j’ai cédé les rênes du coaching à ceux qui allaient me succéder la saison prochaine à la tête de la N3. Avec le calendrier de Namur, c’était difficilement compatible."Faut-il en déduire qu’il officiera toujours dans la capitale wallonne en 2022-2023?"Je ne sais pas encore. On doit en rediscuter", précise "Jacky", qui s’est par contre retiré de la course à la présidence de la FVWB."Quand on a été amenés à rencontrer les administrateurs, j’ai fait un exposé de tête, de mon projet. Mais je me suis rendu compte qu’on ne cherchait pas vraiment un profil sportif, mais plutôt administratif. Même si je pense que le volley francophone aurait besoin de personnes plus concernées par le volley lui-même… Je n’ai donc pas voulu m’engager plus loin. Je souhaite bonne chance aux deux candidats en lice, Dominique Reterre et Philippe Boone."
Du côté namurois, toujours pas de nouvelles reconductions en vue."Les deux grosses interrogations concernent Lucie Rousselin(NDLR: testée par Charleroi et contactée par Gembloux)et Kathleen Gilain", confie Dominique Colin, qui devra peut-être se passer de la seconde, ce samedi."Elle souffre de l’épaule. Si elle doit renoncer, c’est la jeune Inès Cambier qui fera son baptême du feu."