Tribunal correctionnel de Namur: la saleté ne fait pas un canard laqué avarié

Un restaurant chinois s’est retrouvé dans le viseur de l’Afsca. Un dossier qui a un peu pourri dans les méandres de la justice.

P.W.
 Toujours appétissants en salle, les mets chinois mais, côté cuisine, peu au goût de l’Afsca.
Toujours appétissants en salle, les mets chinois mais, côté cuisine, peu au goût de l’Afsca. ©Jrme Romm – Fotolia 

Entre les restaurants chinois et l’Agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (Afsca), on ne se comprend pas toujours. La relation est tumultueuse pour ne pas partager, gentiment dit, la même conception de l’hygiène. Nouvelle illustration ce lundi matin, au tribunal correctionnel de Namur, où comparait un jeune restaurateur chinois, sommé de s’expliquer sur des PV calamiteux, certains anciens, dressés par l’Afsca.

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