Namur: 111 ans plus tard, il retrouve le graffiti de son papa, éternel survivant de la Grande Guerre, dans les souterrains de la citadelle (vidéo)

Au début des années 1910, Auguste Colas laissait trois graffitis dans les souterrains de la citadelle. 111 ans plus tard, son fils, Michel, a pu les découvrir, les palper, ému.

« J e n’ai pas osé, je peux le toucher? " Face au mur humide envahi d’écritures, étonnamment bien conservées, Michel Colas approche sa main du relief laissé par son père sur l’enduit. Ancré dans le patrimoine de la citadelle, il y a son nom: Auguste Colas. Sacré bonhomme, né en 1891. " Colas, comme Ménélas. Auguste, pas le clown, comme l’empereur . "

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