Tous ces morts qui sont de retour en ville, en format monumental

Instants cadrés ne se limite pas à une galerie de portraits. Sous vitrine, on s’intéresse à un carnet de comptoir.

p.w.
Tous ces morts qui sont de retour en ville, en format monumental
Les photographes «capturaient» toujours les photographiés sur un tapis.

D’un côté, il y a les 150 portraits en format réduit, sélectionnés au hasard. Mais certains, agrandis à une échelle d’affiche ou de totem, et collés sur les vitres du bâtiment des Archives, donnent l’impression de faire revenir des morts. Par le plus grand des hasards, ces Namurois disparus depuis belle lurette sont de retour en ville, glissant à travers le pare-brise des automobilistes, boulevard Cauchy. De l’autre côté, quelques vitrines où l’on peut découvrir un exemplaire de chambre à tiroir pour plaques de verre au collodion humide, une technique qui régnera pendant plus de 50 ans, avant d’être supplantée par le gélatino-bromure.

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