KIKK Festival: un éloge numérique à la fragilité

Jusqu’à dimanche, le KIKK en ville transforme Namur en un musée fantastique et poétique à ciel ouvert. Aux frontières de l’invisible.

Pierre Wiame

Le KIKK, clap 9e, ça tourne depuis ce matin. Dans des salles, certaines obscures, en des lieux emblématiques namurois, en intérieur comme en extérieur, des œuvres monumentales en mouvement explorent des frontières. Entre le visible et l’invisible. Oscillant du microscopique à l’astronomique. Voyageant aux limites de la logique. Interrogeant les certitudes physiques à coups d’algorithmes, de capteurs et de phénomènes rendus fantastiques. Et, pour finir, bluffant leur public.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...