Glauque, à l’arrache puis à la rage

À l’heure des grands noms, Glauque était, ce vendredisoir, sur la scène Alpha. Entre rap, electro, états d’âme.

Glauque? Ça peut aussi vouloir dire bonheur. En à peine six mois, le quintet namurois s'est imposé, l'air de rien et en n'en revenant toujours pas, comme l'une des grandes révélations de l'année. Les rappeurs-électromen sont présents partout dans les festivals belges avec même quelques incursions en France. «Il y a six mois, nous avions six concerts au compteur. Depuis, nous en avons donné une trentaine », explique Louis Lemage, 21 ans, étudiant en sciences politiques et frontman de Glauque. Nous avons rencontré cet Éghezéen avant son concert «presque à la maison».

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