Eurocoupe Basket-ball : trois minutes qui coûtent cher à Namur Capitale
À l’unanimité, c’est la déception et le désappointement qui se lisaient sur tous les visages. Namur a raté le coche.
Publié le 01-11-2012 à 19h53
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La meneuse Audrey Salvi pointait du doigt la gestion des trois dernières minutes. «Nous ne les avons pas gérées, c'est une grosse déception. Nous n'avons pas su gérer nos émotions. De plus, nous n'avons pas su nous adapter lorsqu'à ce moment-là, Mersin prend l'individuelle pour la première fois.»
«Effectivement, nous avons arrêté de jouer dans les trois dernières minutes, confie aussi Laurence Van Malderen qui a été une cible particulière des mauvais coups. On s'est fait frapper dessus et, en fin de compte, c'est nous qui sommes sanctionnées. Maintenant, nous sommes à zéro sur deux, ce qui aurait dû être la place des Turques.»
Elle s'est pourtant démenée, la Malienne Djénébou Sissoko, mais a été sanctionnée pour le compte de fautes : un comble devant le nombre d'agressions adverses. «Nous avons essayé, que dire d'autre. Les Turques n'étaient pas plus fortes que nous. Elles ont commis beaucoup de fautes mais comme nous n'avons raté beaucoup de shoots, nous avons aussi raté trop de lancers. C'était pourtant un match pour nous. C'est une grande déception car on pouvait et voulait gagner ce match.»
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