Comme Grand Corps, plus jamais peur des dimanches soirs

Là où Lavilliers entre sur scène comme sur un ring de boxe, c’est en boitant que Grand Corps Malade a entamé la dernière ligne droite d’Esperanzah!

A.S.
Comme Grand Corps, plus jamais peur des dimanches soirs
«La rencontre, c’est le fil rouge de tout ce que je fais.» ©ÉdA – Florent Marot

Rien de neuf sous le soleil rayonnant et de ce slammeur qui a de la sympathie à revendre. Et du talent.

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