«Un casse-tête pour trouver de nouveaux endroits de camp»
Lucas Fivet, diriger, c’est prévoir. Et trouver un endroit de camp, c’est capital...
Publié le 09-07-2019 à 06h00
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C’est un véritable casse-tête. Si on se réfère aux endroits qui sont labellisés par «Atouts Camps», on devrait uniquement choisir entre trois ou quatre sites. Avec plus de 250 enfants, dirigeants et membres du staff à loger, ce n’est pas simple...
Comment s’organise-t-on avec un choix aussi réduit? Vous n’allez pas retourner aux mêmes endroits tous les trois ans...
On prospecte beaucoup du côté des internats, des bâtiments scolaires qui loueraient pendant les vacances. On a besoin d’un fameux espace.
De l’espace, vous en avez ici à Ellezelles, dans cet ancien couvent.
Oui, c’est vraiment l’atout. Le souci, dans cette région, c’est le manque de zone boisée. On doit partir à 7 km pour trouver le premier bois. Avec la peste porcine, la fédération nous interdit d’organiser le camp dans les zones touchées, du côté de la Gaume et même de Bouillon. Cela réduit donc encore un peu notre choix. Mais on trouve toujours!