Le projet de salle : réalité ou fiction ?
L’aile francophone cherche à construire une salle exclusivement destinée à la pratique du ping. À Andenne, pour sa position centrale.
Publié le 08-10-2013 à 06h00
:focal(712x480:722x470)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/YZKD2IAIDZFPZIH2FMCP5D6OLE.jpg)
L’Aile Francophone devrait, dans un avenir plus ou moins proche, s’établir à Andenne. Les services administratifs, actuellement à Jambes, rejoindraient la cité des «Oursons», où les élites francophones disposeraient d’une salle entièrement réservée à la pratique du tennis de table.
Un accord a été trouvé avec la Ville et l'échevin des Sports Vincent Sampaoli, qui sont prêts à mettre à la disposition de la Fédération un terrain, situé juste à l'arrière de la piste d'athlétisme et à deux pas de l'Arena. «Ce terrain d'environ 2 500m2 offre un accès direct à la nouvelle construction, précise l'échevin. Une salle qui complète ainsi l'infrastructure sportive et nous permettrait d'héberger le club d'Andenne, qui va devoir quitter les locaux de l'athénée royal. Nous sommes aussi prêts à mettre le bâtiment, proche du parking et qui est propriété de la Ville, à disposition des services administratifs de l'Aile Francophone.»
En optant pour la cité andennaise, les dirigeants de l'AFRBTT ont, sans conteste, réalisé un bon choix. «Plusieurs raisons ont influencé notre choix, confirme Yves Douin. Par rapport à la région Wallonie-Bruxelles, Andenne constitue un lieu central, avec un réseau routier proche et le chemin de fer, avec une gare. Le complexe sportif Arena se situe aussi au cœur de la ville et nous permet de disposer d'une piscine, d'une salle de fitness et d'une piste d'athlétisme. Nous pouvons également profiter de la grande salle pour l'organisation de grandes compétitions, comme nous le ferons déjà en 2014 avec le championnat de Belgique série A, sur deux journées.»
On trouve aussi dans la cité des «Oursons» une école secondaire. «Nous envisageons ainsi de lancer un sport-études consacré au tennis de table.»
Une construction qui reste aussi la priorité de Jean-Michel Saive, le nouveau directeur technique de l’aile francophone.
Si on veut amener des jeunes vers le top mondial, il est indispensable de pouvoir bénéficier d’un centre spécifique pour le tennis de table.
DO