Province de Namur : la deuxième vie des collectifs d’aide aux migrants en transit

En 2018, des centaines d’Érythréens traversaient la province de Namur vers Calais et l’Angleterre. Des collectifs d’aide aux migrants se sont formés aux quatre coins de la province. Maintenant que les Érythréens ne passent plus, que deviennent ces associations citoyennes ?

 Avant d’être accueillis par des collectifs, les migrants en transit logeaient dans des camps de fortune aux abords des autoroutes. Les conditions sanitaires étaient déplorables. La Région Wallonne a procédé à plusieurs reprises au démantèlement de ces camps et détruit le peu d’affaires que possédaient les migrants.
Avant d’être accueillis par des collectifs, les migrants en transit logeaient dans des camps de fortune aux abords des autoroutes. Les conditions sanitaires étaient déplorables. La Région Wallonne a procédé à plusieurs reprises au démantèlement de ces camps et détruit le peu d’affaires que possédaient les migrants. ©EdA - Florent Marot

L’annonce début avril de la fermeture de la maison d’accueil pour migrants en transit La Ruche à Gembloux entraîne les collectifs jumeaux à se questionner sur le bien-fondé de la poursuite de leurs activités.

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