Marche-en-Famenne: Pink Floyd, un mythe musical revisité au WEX
Avec le concert "Pink Floyd – The greatest tribute ever", 40 musiciens ont fait revivre les fresques musicales de Pink Floyd. Plus de 1000 personnes ont savouré l’expérience au WEX de Marche-en-Famenne.
Publié le 26-03-2022 à 13h01
Faut-il encore présenter Pink Floyd? Ce mythique groupe de rock britannique, créé en 1965, n'a eu de cesse de révolutionner la musique, avec son rock progressif et inventif qui a su défricher des terres musicales jusque-là inexplorées. The dark side of the moon est d'ailleurs toujours l'un des albums le plus vendu de tous les temps.
L'espace d'une soirée, la magie a opéré à nouveau pour plus de mille spectateurs qui avaient décidé de faire le mur (The Wall) ce vendredi soir et de rejoindre le WEX, pour assister au concert coverPink Floyd – The greatest tribute ever.
40 musiciens issus des univers rock et classique
Pour ressusciter le mythe sur scène, 40 musiciens, issus à la fois des univers rock et classique, ont recréé tous les grands succès de Pink Floyd dans une somptueuse version "rock-symphonique qui sied à merveille aux envolées du groupe cher à Roger Waters, David Gilmour…. Des musiciens qui ont complètement réinventé le mythe, tout en respectant ce qui en fait le sel.
La scénographie est à l’avenant. On retrouve ainsi "l’œil" central au cœur duquel sont diffusées des projections en lien avec les chansons interprétées. Un clin d’œil à la gigantesque tournée Pulse au milieu des années 90.
Sur scène, toute l'histoire du groupe y passe: le Shine on you crazy diamond d'ouverture donne la couleur de la soirée. S'enchaînent ensuite les classiques que sont Learning to fly, Sorrow,Time, Money, le toujours prenant Wish you we here, le divin High Hopes, la disco martiale de The Wall reprise en chœur par le public présent. Et que dire de l'épique Comfortably numb, neuf minutes de bonheur avec son solo de guitare final de quelque trois minutes.
Et le groupe de terminer à nouveau par quelques notes de Another brick in the wall.
Qu’il est bon parfois de faire le mur!