Grâce à Nov’Ardenne, c’est une première dans la province
Simon Lemaire explique que le GAL Nov’Ardenne a été le premier sur la balle et que les utilisateurs de Merciki peuvent limiter leur rayon d’action à leur zone.
Publié le 21-01-2020 à 06h00
Il existe un onglet qui permet de déterminer jusqu’où on veut faire savoir ce qu’on a à échanger. Explications de M. Lemaire: «Ce système de communauté est désormais lancé avec le tout premier groupe, celui du GAL Nov’Ardenne, qui est accessible à l’ensemble des citoyens du territoire, y compris les entreprises, associations et autres organismes. Ce groupe est donc le pionnier dans le domaine, aidant par la même occasion au développement de Merciki dans la province de Luxembourg. Cela commence seulement chez nous et dans le GAL Nov’Ardenne, nous ne sommes que 9 utilisateurs. À Bruxelles, cela cartonne. On dénombre plus de 7 000 affiliés!»
Les donneries sont aussi une solution
Et comment faire si par exemple on vide la maison d’un proche et qu’on se retrouve avec une montagne de bibelots et meubles qu’on veut bien céder, mais pour lesquels on ne veut surtout rien en échange parce qu’on est déjà envahi par trop d’autres choses?
«Simple, répond Simon Lemaire. Il suffit alors de contacter une donnerie. Nous en avons trois sur notre territoire qui comprend les communes de Libramont, Libin, Saint-Hubert et Tellin. Il y a notamment une donnerie à Redu. Par ce biais, vous faites plaisir à un tas de gens dans le besoin et cela limite les encombrants dans les parcs à conteneurs.» Futé, non?