Beho, annexé pendant la guerre: «ils» n’ont pas trahi

Joseph Neysen revient sur 50 destins d’habitants de Beho, commune annexée au Reich en 1940. Habitants qui n’ont pas voulu servir l’Allemand.

Jean-Michel Bodelet
Beho, annexé pendant la guerre: «ils» n’ont pas trahi
Jospeh Neysen, avec une plume alerte, fait revivre ce pan, inconnu, de l’histoire d’une commune ardennaise en 40-45. ©ÉdA

Voici moins d'une décennie, le gouvion Joseph Neysen sortait un ouvrage remarqué: «1944-1945, dans l'enfer de Gouvy-Beho.» Dans ce dernier, il revenait sur l'offensive des Ardennes dans sa région, en y faisant la part belle aux témoignages. L'auteur s'attaque cette fois, toujours aux éditions Weyrich et toujours sous l'axe d'histoires vécues, à un autre thème touchant la Seconde Guerre mondiale. Un thème inédit, particulier: celui de l'annexion de l'ancienne commune de Beho au IIIe Reich. «Beho est sans doute la plus méconnue de ces dix communes de la vieille Belgique ayant subi l'annexion», note dans la préface Alain Colignon, bibliothécaire au CEGES.

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