Mise au vert ou aux verres ?
Cinquième journée Certains entraîneurs ne vont pas rigoler en lisant ces lignes. Vous vous souvenez de Guy Roux qui effectuait le tour des discothèques pour retrouver ses joueurs ? Ou de Michel Pavic visitant le Carré à la recherche de Roger Claessen ? Eh bien tous ceux qui veulent imiter ses deux entraîneurs emblématiques ont peut-être davantage intérêt à copier la méthode Spoiden. Vous voyez : Fabrice Spoiden, bizut dans ce métier, à Montleban ? Hier matin, notre cornac et toutes ses troupes ont fêté jusqu'au chant du coq les noces de leur gardien Kiki Louvins. Une dizaine d'heures plus tard, non seulement, Kiki apportait sa pierre en l'édifice en convertissant un penalty, mais avec ses partenaires, il offrait à la délicieuse Carine la première place du général. Incroyable...
Publié le 21-09-2009 à 10h00
Montleban seul en tête de P1, c'est historique pour le club, mais aussi un sacré pied de nez aux grosses écuries. Le parieur qui a donné dans l'ordre le quarté Montleban, Bastogne, Champlon et Mormont à mi-tranche a vraiment intérêt à jouer à l'Euro Millions.
Cette cinquième journée marque aussi le réveil des derniers de classe. Jamoigne arrache une première unité face à des Libramontois qui continuent à jouer avec leur bonheur. Les Houffalois, avec le duo Mathieu - Mouzouri des plus inspirés, assombrit le bilan d'Oppagne. Voilà ce qui arrive quand on donne le bâton pour se faire battre. C'est exactement ce qui s'est produit à La Forge où les hommes de Pol Leemans ont payé cash leur apathie initiale.
En arrachant à Wellin un point amplement mérité dans le final, Bastogne confirme son talent. Champlon, lui, est parvenu à conserver le meilleur sur une séduisante formation méchoise. Avec cinq buts contre des Athusiens déforcés, Martelange semble avoir trouvé sa vitesse de croisière. Par contre, Habay-la-Vieille, accroché par une RJA bien organisée et volontaire, ne parvient pas à se débarrasser de la sorcière. Vivian Goffaux (nez cassé) a rejoint à son tour une infirmerie déjà bien garnie. F. C.