Erezée: pas de preuve de nourrissage illicite de sangliers

Le juge acquitte le titulaire de droit de chasse et égratigne au passage le DNF

S.É.
 Le prévenu était suspecté d’avoir voulu nourrir des sangliers sur une parcelle destinée à la chasse avec des restes alimentaires. Pour le tribunal, il n’y avait pas d’éléments de preuves.
Le prévenu était suspecté d’avoir voulu nourrir des sangliers sur une parcelle destinée à la chasse avec des restes alimentaires. Pour le tribunal, il n’y avait pas d’éléments de preuves. ©ÉdA

L’octogénaire, se défendant sans avocat, n’était pas un gros chasseur. Mais pourtant, c’est devant le tribunal correctionnel de Neufchâteau qu’il a eu à s’expliquer pour une infraction de chasse. Ce que le parquet lui reprochait sur base de constats du DNF ? Du nourrissage illégal de sanglier.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...