Meurtre de Tarzan à Bomal: la défense de Mélissa Sauvage amène la question des abus

La mère de la plus jeune fille d’Antoine Marchal dit aussi avoir reçu des confidences.

Sébastien Étienne
 Le président Hugues Marchal a sollicité l’éclairage médico-légal.
Le président Hugues Marchal a sollicité l’éclairage médico-légal. ©EDA Claudy Petit 

Une cour d’assises peut se transformer en moment d’impudeur. Et ce jeudi, l’illustration en a été donnée au procès du meurtre d’Antoine Marchal alias "Tarzan" devant les assises du Luxembourg. Car il y a été question de l’intimité de la plus jeune fille de la victime, une jeune adolescente âgée alors de 13 ans. Mélissa Sauvage, autre fille d’Antoine Marchal, accusée du meurtre de son propre père, a toujours affirmé avoir reçu les confidences de sa cadette qui lui aurait confié avoir été violée par son père. Et ceci aurait motivé Mélissa Sauvage à se rendre chez la victime à Bomal pour lui soutirer des aveux, le 31 août 2020, en compagnie de ses co-accusés, Renaud Dessart et Fabrice Duchesne.

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