Meurtre de Tarzan Bomal: le légiste n’est pas entièrement formel

Le médecin légiste est en arrivé à la conclusion d’une hémorragie mais sans exclure formellement une autre explication. La défense voit des doutes.

Sébastien Étienne
 e corps de Tarzan avait été retrouvé dans son habitation au Trieux à Bomal. Le procès a aussi pour but d’essayer de savoir ce qui s’y est produit.
e corps de Tarzan avait été retrouvé dans son habitation au Trieux à Bomal. Le procès a aussi pour but d’essayer de savoir ce qui s’y est produit. ©Eda

Lorsque le corps sans vie d’Antoine Marchal avait été retrouvé dans son lit, chez lui à Bomal, le 9 septembre 2020, le décès remontait déjà à plusieurs jours. Le cadavre de celui que l’on surnommait Tarzan était dans un état de putréfaction avancé. Cela n’avait toutefois pas empêché qu’une expertise médico-légale puisse être réalisée. Et ce mercredi, le médecin-légiste mandaté au cours de l’instruction, le docteur Aurélien Partoune, est venu présenter ses conclusions, cette fois devant la cour d’assises du Luxembourg à Arlon jugeant le meurtre de Tarzan. "Quatre lésions contondantes ont été relevées sur le corps ; à savoir provoquées par un instrument ou poing qui frappe mais qui ne pique pas", explique le Dr Partoune.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...