Chiny: le féminin du mot "liberté" en spectacle ce samedi 1er avril

Spectacle d’une énergie débordante, Na’Ni et puis un jour tu vis est un excellent remède contre la grisaille actuelle. Simona Boni (Cie Grasparossa) porte ce seul-en-scène théâtral de manière magistrale. Elle incarne tous les rôles, chante, danse et joue de la guitare. Na’Ni nous conte l’histoire d’une femme, son histoire, qui "décide de créer la vie qu’elle souhaite". Ce personnage nous prend par la main et nous emmène, avec beaucoup d’humour et d’autodérision, au carrefour entre les souvenirs et l’imagination. Cela sent bon son enfance italienne où elle chantait et dansait à pleins poumons, malgré les obstacles et les épreuves, sur la plaque d’égouts, devant le château d’eau, comme sur une vraie scène, avec pour seul public, sa grand-mère et ses copines.

Ma. Gi.
 "Na’Ni et puis un jour tu vis", un seul en scène flamboyant.
"Na’Ni et puis un jour tu vis", un seul en scène flamboyant. ©ÉdA

À vivre le samedi 1er avril

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