Les meubles Lambermont à Bertrix sous l'enseigne Crack
Dans un avenir proche, les meubles Lambermont feront place à la nouvelle enseigne Crack, originaire de Wervik. Restructuration, mais continuité.
- Publié le 08-10-2021 à 06h00
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Selon son directeur Jochen Deschodt, même si l’enseigne des meubles Lambermont est appelée à disparaître au profit de Crack, la volonté du nouveau groupe fondé en Flandre par André Ollevier est de garder le «haut de gamme» tout en proposant également ce qui faisait la spécificité des autres sociétés du groupe. À savoir des meubles de moyenne gamme et plus à destination d’un public plus jeune.
Sous l'enseigne Crack, on pourra retrouver une gamme plus variée comme celle proposée par les autres sites de Wervik et de Dottignies. «Chaque magasin fonctionnera indépendamment l'un de l'autre tout en étant relié sous la même bannière Crack qui pourra ainsi proposer aux clients une gamme plus large mais aussi de niveaux légèrement différents», plaide le directeur de l'enseigne bertrigeoise, Jochen Deschodt.
Avec en parallèle un seul web-shop
Cette nouvelle appellation Crack a aussi pour vocation de garder et diversifier l'offre des magasins «physiques» tout en développant un seul web shop pour toutes les enseignes de ce nouveau groupe. «Il aurait été ridicule de garder trois web shops et trois magasins, même si au départ je n'étais pas totalement convaincu, confie Jochen Deschodt. Mais nous sommes en 2021 et il faut vivre avec son époque. Cela ne fait que poursuivre le renouvellement que nous avions élaboré en 2017 et la volonté de s'adresser à un public plus jeune tout en gardant nos clients fidèles.»
Et ce n'est pas seulement au niveau de l'esprit d'entreprise que cette restructuration a été effectuée puisqu'à l'avenir Crack compte poursuivre son développement. «Nous allons notamment développer le secteur cuisines qui prendra place au rez-de-chaussée pendant que nous rénovons en même temps tout l'étage. Mais nous garderons le même style de magasin, les mêmes personnes et les mêmes services», ajoute son directeur.
Actuellement sur le site bertrigeois, ce sont quelque quarante-sept personnes qui travaillent, que ce soit dans les bureaux, pour le transport, l’entretien du magasin, le service de vendeurs ou vendeuses ou la direction.
Et si on comptabilise toutes les personnes occupées au sein du groupe auquel appartient Crack, on arrive à un total de plus ou moins six cents personnes.
On laissera la conclusion au directeur bertrigeois Jochen Deschodt: «Avec et malgré tous ces changements, nous tenons beaucoup à ce que les ''anciens clients'' retrouvent le même magasin avec son caractère bien particulier.»