Noema, cinq artistes se répondent à l'Orangerie de Bastogne

L’Orangerie de Bastogne accueille jusqu’au 6 juin l’exposition «Noema… et ce qui nous échappe». Cinq artistes autour d’un projet commun.

Thierry LEFEVRE
Noema, cinq artistes se répondent à l'Orangerie de Bastogne
L’artiste Denis Mahin fait partie des cinq artistes présentant son travail au sein de l’Orangerie dans le cadre de l’exposition Noema. ©ÉdA

Cinq artistes viennent d'envahir l'Orangerie, l'espace d'art contemporain de Bastogne. François Goffin, Louise Herlemont, Denis Mahin, Armand Quetsch et Jean-Philippe Tromme se sont unis sous la dénomination «Noema». Ils définissent eux-mêmes leur démarche: «Ce projet, partiellement défini, nous rassemble autour de thématiques variées qui nous sont chères: le (dé)cloisonnement, la servitude volontaire, l'évasion; autant de questionnements que nous développons par le biais de nos médiums respectifs, parfois de manière(s) frontale et/ou réaliste, parfois de manière plus subtile, plus abstraite. Denis Mahin collabore avec des rats sous la bienveillance d'un fonctionnaire de la haute finance. Jean-Philippe Tromme réalise des sculptures en fondant «tout et rien» en aluminium pour confondre les genres. Francois Goffin capture des images hybrides glanées au cours de ces voyages. Louise Herlemont confronte des images d'animaux évadés qui errent dans les rues à la manière de marginaux pour révéler les failles d'un système. Et enfin, Armand Quetsch photographie la beauté et des équivalences émotionnelles (paysages intérieurs) dans l'apparente simplicité de la nature qui l'entoure et qu'il parcourt quotidiennement – sorte de pratique thérapeutique.»

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