La maison médicale de Vaux-sur-Sûre ouvrira le 1er février
La maison médicale de Vaux-sur-Sûre ouvrira ses portes le 1er février. Quatre cabinets sont à la disposition du monde médical.
Publié le 19-01-2023 à 15h55 - Mis à jour le 19-01-2023 à 15h56
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Le 1er février prochain, la maison médicale de Vaux-sur-Sûre ouvrira ses portes à ses premiers patients. Elle se situe entre la maison communale et la boulangerie, au cœur du village. Ce bâtiment tout neuf propose quatre cabinets de consultation dont un cabinet de dentisterie, une salle d’attente, une pièce de repos avec kitchenette et deux sanitaires. "Nous allons ouvrir le lieu avec la présence d’un médecin, le docteur Quetsch qui est actuellement accueilli dans une des maisons en bois, explique le bourgmestre Yves Besseling. Il va s’installer dans le futur à Rosières, mais restera dans cette maison médicale pour l’instant. Et nous allons donc pouvoir proposer cette maison en bois à la location car il y a de la demande. Par ailleurs, on espérait accueillir un dentiste, mais finalement cela ne se fera pas. Cependant, on devrait recevoir un orthodontiste. C’est dans ce cadre qu’on va relancer le marché pour l’achat d’une chaise de dentisterie."
Au départ, un médecin généraliste
La Commune a par ailleurs rassemblé tous les acteurs médicaux ou paramédicaux de la région pour voir leurs besoins. "Au départ, nous ne voulions louer que des cabinets de manière mensuel (500 €), poursuit le mayeur Besseling. Toutefois, on pourrait revoir cette manière de procéder car on a des demandes pour des occupations une ou deux fois par semaine. Nous pouvons aussi compter sur un espace pour accueillir éventuellement un secrétariat médical. La volonté est vraiment de maintenir une pratique médicale sur Vaux-sur-Sûre. Et si le concept fonctionne, nous avons encore l’opportunité d’agrandir le bâtiment. Les plans sont d’ailleurs déjà prêts pour la réaliser."
Un investissement de 670 000 €
Le conseil communal avait approuvé ce projet en février 2021 avec une enveloppe de 570 000 €. Une aide de 100 000 est venue de la Région wallonne et 25 000 € de la Province. Avec la révision des prix, on est passé à 670 000 €.
Le monde médical va donc pouvoir compter sur un outil des plus intéressants et la Commune peut espérer attirer des médecins et autres acteurs paramédicaux grâce à ce nouvel outil.