Céline Kobierzynski exposait à Wasseiges: lumière et douceur contemplative

Lumière charnelle

Nathalie BOUTIAU
 Céline Kobierzynski exposait ses peintures à la salle Safran de Cotchia, ce week-end avant de repartir pour Londres.
Céline Kobierzynski exposait ses peintures à la salle Safran de Cotchia, ce week-end avant de repartir pour Londres. ©ÉdA

Dans toutes les formes d’expression artistique, la frontière entre le réel et l’imaginaire reste fragile et dépend souvent de celui qui regarde l’œuvre. Dans les peintures de Céline Kobierzynski (Oxalif), on retrouve une autre lecture du monde. Ici, différents points d’entrée s’ancrent dans une réalité proche et pourtant éloignée de la perception qu’on peut en avoir, avec le surgissement d’un portrait qui reste discret et fulgurant en même temps."Je suis plus dans le réalisme, admet la jeune Wasseigeoise,mais j’essaie de garder une certaine distance pour m’exprimer."

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...