Olivier Franquin a bien géré

Didier Quain parti, son remplaçant Gilbert Mérodio qui coachait pour la dernière fois l'Entente Sommenoise (P2B namuroise) dans sa mission sauvetage, il ne restait donc que le courageux Olivier Franquin (T2) pour assurer la bonne tenue des troupes à Wasseiges. Il faut reconnaître que son rôle était plutôt ingrat. Une perte de points chez l'avant-dernier aurait fait grand bruit dans la maison des Patronnés. «J'avais beaucoup à perdre si la rencontre se passait mal, commentait le T2. De plus, j'ai dû remplacer Beine (malade) qui s'était déconvoqué à midi. Nous n'avons pas été bons en première armure mais nous n'avons pas pris de but. À la reprise, ce fut nettement plus facile.» Et Quain dans toute cette saga ? «Nous n'avons rien à lui reprocher. Il nous a permis de revenir dans le coup. Sauf que l'on perdait cette communion d'après match. Il n'y avait plus de cagnotte. Les gars arrivaient aussi tardivement à l'entraînement. C'est vrai que l'on peut laisser une certaine liberté mais ce n'est pas le club Med. Cette équipe est assurément un cadeau empoisonné pour Gilbert Mérodio. J'ai demandé aux joueurs à cet égard d'avoir beaucoup de respect. C'est la base pour que la fin de championnat se passe bien. Les garçons ont des qualités qu'ils doivent mettre au service de la collectivité. Nous ne sommes pas loin de Tilleur. Cependant, il possède six points d'avance et une victoire de trop.»

A.G.

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