Exercice Amok: quatre hommes armés et une trentaine de blessés à l’athénée de Waremme, près de 300 personnes mobilisées

Un exercice Amok était organisé ce lundi matin dans les murs de l’athénée royal de Waremme. Le scénario mettait en scène une intrusion de quatre hommes lourdement armés venus y faire un massacre.

 La police fédérale à la recherche des criminels dans les escaliers de l’athénée.
La police fédérale à la recherche des criminels dans les escaliers de l’athénée. ©Police

Du sang dans les couloirs de l’athénée royal de Waremme, des coups de feu et un branle-bas de combat que l’établissement scolaire n’a probablement jamais connu: ce lundi matin, un exercice Amok y était organisé pour la première fois sur la zone de police Hesbaye. C’est-à-dire la simulation d’une attaque meurtrière. Un exercice auquel les journalistes n’étaient pas conviés pour des raisons de sécurité. "C’est un exercice qui se prépare depuis le mois d’octobre, expliquait l’agent de police coordinateur de l’exercice, Francesco Magnetico, lors de la conférence de presse qui a suivi. Le but, c’est de permettre aux unités des différentes composantes en présence (NDLR: la zone de police Hesbaye, deux drones et les POSA – unités spéciales – de la police fédérale, le Planu de la zone de secours Hesbaye et la Ville de Waremme) de travailler de concert et de leur permettre de se coordonner dans ce genre de situation." Des services qui n’ont pas forcément l’habitude de travailler ensemble. Les hôpitaux de la ville avaient également été avertis de l’exercice mais n’ont pas été sollicités dans ce cadre.

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