La capitale hesbignonne au top de la vaccination en Wallonie
Le bourgmestre, Jacques Chabot, dresse le bilan de la vaccination à Waremme. La commune est n° 1 en Wallonie en termes de couverture vaccinale.
Publié le 28-01-2022 à 08h27
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Lors du conseil communal de lundi, le bourgmestre de Waremme, Jacques Chabot, dressait un bilan de la vaccination dans la capitale hesbignonne. Ceci à la demande de la conseillère Aline Dassy. Le mayeur explique tout d'abord que le centre de vaccination waremmien, situé à la salle du Métropole, devrait "en principe" rester ouvert jusqu'au 28 février prochain. "Le centre de vaccination attend une décision de la ministre Morreale pour une prolongation éventuelle jusqu'à fin mars 2022. Cette décision dépendra de la décision de proposer une 3e dose aux 16-18 ans et s'il y a une 4e dose prévue pour les personnes immunodéprimées", informe le bourgmestre.
89 % des Waremmiens ont reçu leurs deux doses
Ce dernier explique aussi que les plages horaires destinées aux enfants seront bien maintenues jusqu'à la fin. "Les mercredis de 14 à 17 h et les samedis de 9 h à midi. Des créneaux horaires sont également destinés à la vaccination sans rendez-vous les jeudis et vendredis de 10 à 15 h."
Jacques Chabot livre plusieurs chiffres en matière de vaccination à Waremme. "Ce sont des données qui datent du 1er janvier 2022. Depuis le début de la vaccination, en mars 2021, Waremme est en tête parmi toutes les communes wallonnes en termes de couverture vaccinale contre le Covid. En tout, 89% des Waremmiens ont reçu leurs deux premières doses et 70,9% ont reçu trois doses. Concernant les 12-18 ans, 78,8% ont reçu les deux premières doses."
Et à savoir si la vaccination démarre bien chez les enfants de moins de 12 ans, le bourgmestre répond "oui", puisque depuis le début de la vaccination des enfants, le 19 janvier, "95 enfants ont été vaccinés ce jour-là et au 23 janvier 2022, ils étaient 443 enfants à être en attente d'une première dose".
La conseillère constate également une zone d'ombre concernant la dose booster pour les adolescents de 12 à 17 ans. "Certains sont déjà à plus de 6 mois depuis leurs premières doses, en effet, reconnaît le mayeur. Un avis a été demandé au Conseil supérieur de la santé concernant la vaccination pour cette tranche d'âge. Mais l'Agence européenne des médicaments n'a pas encore donné son autorisation…"
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