Wilhelmus: "Je veux aider Villers"
Yannick Wilhelmus est le nouveau président des Villersois. Motivé, l’actuel joueur de la P4 veut aider son club à s’en sortir.
Publié le 25-03-2022 à 06h00
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Fumée blanche du côté villersois. Alors qu’on vous annonçait en exclusivité que Daniel Bay arrêtait sa présidence en fin de saison du côté de Villers, plusieurs faits ont précipité son arrêt définitif dès ce lundi.
En effet, c'est Yannick Wilhelmus qui reprend le rôle de président dès à présent. "Il était en effet prévu que la transition se fasse en douceur, souligne Patrick Devaux, qui continuera à gérer la communication au sein du club. Malheureusement, il y a eu quelques échauffourées dimanche et Daniel a préféré s'en aller directement. Maintenant, on aime notre club et on ne le laissera pas tomber, il faut être bien clair là-dessus. "
Une nouvelle génération à bord
À 41 ans, celui qui officiait déjà dans la deuxième équipe villersoise aura désormais à cœur de mener à bien son projet avec le club de son cœur. Une nouvelle dynamique doit s'installer du côté de Villers. Yannick Wilhelmus est conscient qu'il a du boulot pour faire tourner la boutique. Il espère en tout cas être capable de s'en sortir. "Pour être tout à fait franc, jamais je n'aurais pensé devenir président du club. Après, je sais qu'on va m'aider. "
Directement mis dans le grand bain, le nouveau président a plusieurs objectifs à court et moyen terme. Pour lui, le principal est de pérenniser le club. "Je veux en priorité sauver la troisième provinciale. Après, on doit regarder plus loin et tout simplement sauver le club. Mon prédécesseur a fait du très bon boulot et on doit le féliciter pour cela mais il était arrivé à sa limite. Financièrement, il va falloir trouver des solutions pour s'en sortir. "
Une page se tourne mais on espère que le chapitre suivant soit encore plus beau du côté des Jaunes. En combinant la jeunesse des nouveaux et l’expérience des anciens, le mariage peut s’avouer intéressant. À voir désormais comment le club villersois va tourner mais quoi qu’il en soit, il devenait nécessaire de repartir d’une page blanche.