Arrêt de la centrale nucléaire de Tihange 2: « Ne plus entendre le bruit de turbine en salle des machines sera le plus symbolique »

Philippe Dengis a été engagé en 1988 à la centrale de Tihange 2. Il regrette la mise à l’arrêt d’un outil qu’il a piloté durant 25 ans.

Interview : Frédéric Renson

Si ce ne sont trois années à Tihange 1, Philippe Dengis (58 ans) a fait toute sa carrière au sein de la centrale de Tihange 2. En 1988, il débutait par le laboratoire de chimie pour ensuite "grimper les échelons" jusqu’à la fonction de chef de quart au service de conduite en salle de commandes. Depuis 1998, il a 8 ou 9 personnes sous sa responsabilité. Entretien avec un passionné.

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...