Agata Blairon tire sa révérence à Thuillies

La capitaine de Tchalou a décidé de terminer sa carrière à la fin de cette saison. Toutefois, elle ne sera jamais loin de son mari…

Harmony Devilez
 Ugo et Agata Blairon vont maintenant penser à faire des enfants.
Ugo et Agata Blairon vont maintenant penser à faire des enfants. ©ÉdA

Agata Karas, de son nom de jeune fille, a commencé le volley-ball assez tard. Polonaise d’origine, maîtrisant la langue de Voltaire à merveille, la joueuse retrace son parcours: "J’ai commencé le volley en Pologne à l’âge de 15 ans. Avant cela, j’étais plutôt une fan de Kayak. J’étais une pro dans ce sport. J’habitais dans un petit village et mes parents avaient fait du volley mais du volley de l’âge des dinosaures (rires)! Un copain de mon papa a créé une petite école de volley et mon papa a trouvé cela marrant de m’inscrire sans me demander mon avis ! À la base, comme mon papa était passeur, il a voulu que je sois passeuse. Mon frère jumeau était très bon tandis que moi j’ai galéré. J’ai ensuite rejoint une école de volley très réputée en Pologne, un peu l’équivalent de la Top School de Vilvorde en Belgique. Ensuite, je n’ai pas voulu rester en Pologne et profiter du réseau de mon père. Je m’en suis affranchie en venant jouer en Ligue B en Belgique. J’allais jouer comme deuxième passeuse mais la première s’est blessée rapidement et donc j’ai fait toute la saison. J’ai aussi joué avec des tops joueuses en équipe nationale juniore polonaise."

Pour accéder à cet article, veuillez vous connecter au réseau internet.
Vous êtes hors-ligne
Connexion rétablie...