Top 4 validé pour les Carolos

D’un côté, il y a la victoire validant le Top 4 de Charleroi pour les prochains play-off. De l’autre, il y a ce match très difficile face à une équipe à cinq, qui s’est battue jusqu’au bout et aura fait douter des Carolos privés de Tshiteya. Il fallait donc un facteur x, un joueur en plus pouvant apporter son écot offensivement et c’est venu de Degimbe. Cirelli et Lambot avaient tenu Charleroi dans le premier quart puis Steinier et Degimbe ont suivi. La deuxième mi-temps sera très équilibrée, jamais les Carolos ne seront vraiment à l’abri.

Publié le 11-04-2022 à 06h00 - Mis à jour le 11-04-2022 à 06h01

16-20, 31-16, 21-23, 21-25

CHARLEROI: Tagliafero 0, Cirelli 15, Martin 2, Lambot 30, Mureddu 2, Steinier 21 (2x3), Degimbe 19 (3x3)

IXELLES: Crèvecœur 2, Van Meerbeeck 20 (5x3), Diallo 15 (2x3), Dagher 24 (2x3), Dagher 23

D’un côté, il y a la victoire validant le Top 4 de Charleroi pour les prochains play-off. De l’autre, il y a ce match très difficile face à une équipe à cinq, qui s’est battue jusqu’au bout et aura fait douter des Carolos privés de Tshiteya. Il fallait donc un facteur x, un joueur en plus pouvant apporter son écot offensivement et c’est venu de Degimbe. Cirelli et Lambot avaient tenu Charleroi dans le premier quart puis Steinier et Degimbe ont suivi. La deuxièmemi-temps sera très équilibrée, jamais les Carolos ne seront vraiment à l’abri.

Ensival 88 - Olympic 82

23-29, 31-16, 13-21, 21-16

ENSIVAL: Genet 25, Erkenne 27 (5x3), Delsemme 8 (1x3), Walraff 3, Demez 11 (1x3), Buscicchio 3, Pitz 3 (1x3), Beckers 7 (1x3), Jacques 1

OLYMPIC: Delys 15 (3x3), Tahon 30 (3x3), Vitali 4, T. Blaise 16, Cauchy 2, Hoebeke 2, B. Blaise 9 (3x3), Milhi 1, Bouflette 3

Pour l’heure, seulement 4 équipes, dont l’Olympic, sont inscrites en play-off. Néanmoins, cette défaite, chez une équipe qui pouvait valider son maintien et déjà tombeuse de Charleroi, pose question. "Nous entamons bien la rencontre mais ouvrons déjà les portes en défense. Avec un mental défaillant, on prend l’eau sous les triples adverses dans le deuxième quart. On galvaude des fast-breaks malgré tout, on est devant à trois minutes du terme, avant de flancher" , constate Pascal Chouli.