Charleroi: la Ville traque aussi les dépôts sauvages grâce aux caméras de la Police

Depuis fin janvier, les caméras de sont utilisées pour réprimer les infractions sur le territoire carolo.

D.A.
 L’échevin Mahmut Dogru se félicite du mix de technologie des caméras.
L’échevin Mahmut Dogru se félicite du mix de technologie des caméras. ©ÉdA – 60496425691 

Chaque semaine, les équipes de propreté publique collectent à Charleroi une cinquantaine de tonnes de déchets en voirie et dans l’espace public. En 2020, le volume avait atteint 2665 tonnes, avec un coût exorbitant pour les finances locales. Pour combattre ce fléau, la ville a décidé de consacrer 400 000 euros à l’acquisition, au placement et à l’entretien d’un réseau de caméras de surveillance, un investissement initialement étalé sur quatre ans. "Notre choix ne s’est volontairement pas porté sur un seul modèle, mais sur plusieurs technologies qui permettent de mettre sous protection des environnements très différents", avait expliqué en son temps l’échevin Mahmut Dogru en charge de la Propreté. En effet, certaines caméras sont adaptées au milieu forestier, d’autres aux quartiers urbains et d’autres encore aux bords de route ou aux terrains vagues.

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