La Docherie n’avait pas les armes
Les Dochardes ont lutté mais le courage n’a pas suffi. Les Bauletoises ont même pu offrir du temps de jeu à leurs plus jeunes joueuses. Baulet 109 Docherie 51
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Publié le 26-11-2012 à 07h00
31-16, 34-11, 18-8, 26-16
BAULET: Signore 30 (5x3), Matton 12, Lescroart 9 (1x3), Cappelletti 13 (2x3), Santolini 7, Bouaanani 7, Comelli 8, Cornamusa 22 (2x3), Baldo 1
DOCHERIE: Vodermans 0, Clève 7 (1x3), Kabamba 13, Sarteau 4, Nihoul 6, Bovi 11 (2x3), Segers-Montigny 1, Verhimst 9
Il n’aura pas fallu attendre deux minutes pour comprendre que les Bauletoises seraient supérieures. Même si Bovi et Kabamba, bien présente malgré le deuil qui l’a touchée, firent illusion (6-5), il n’y en aura que pour Baulet. En l’absence de Bettens (anniversaire de son filleul!), c’est la jeune Clève qui se retrouva balancer à la mène. Pourtant virevoltante et parfois inarrêtable, elle s’essouffla vite, à l’image du reste de l’équipe. La Docherie multiplia les pertes de balle que ne se privèrent pas de concrétiser les Signore ou Cappelletti.
Et si la zone visiteuse parvenait à se mettre en place, les Bauletoises allumèrent avec un grand bonheur (et un gros pourcentage) en périphérie, 31-16 (10e ). Jean Gehu ne se priva pas d’offrir beaucoup de temps de jeu à ses cadettes, Lescroart, Santolini et Baldo qui lui rendirent bien à leur façon. Puisque, malgré leurs présences conjointes sur le terrain, l’écart continua d’augmenter, Signore (20) et Cornamusa (13), en étant les principales responsables, 65-27.
Evidemment, d’intérêt, il n’y en avait plus depuis bien longtemps (mais y en avait-il un dès le départ?), si ce n’est de savoir quand les Bauletoises allaient franchir le cap de la centaine. Pour ça, il faudra tout de même attendre la 38e et la quatrième bombe de Signore (100-47). La zone 3-2 (au lieu de 2-3) de la Docherie aura eu le don de réduire quelque peu les tentatives à distance adverse.